Programme des activités et sorties

Le nouveau programme des activités et sorties pour les mois de Février et Mars est enfin disponible.

Il s’adresse aux enfants et aux adultes/seniors. Des activités de loisirs créatifs et cuisine sont proposées aux enfants, tandis que les adultes/seniors pourront en plus, participer à des sorties.

Du théâtre, des visites, démonstration de fabrique de macarons, bref, tout un programme.

Appelez-moi, une demande particulière, une question, un renseignement.

A très vite pour de belles rencontres et tisser des liens.

PROGRAMME ADULTES & ENFANTS FEVRIER-MARS 2013

Sortie prévue le Samedi 23 mars à 20h30

Bien chaleureusement,

Florence

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Présentation à la MARPA de Sénart

MARPA de Sénart, au coeur de Tigery, une maison pour les retraités

J’ai eu le plus grand plaisir, de présenter mon activité et mes services devant une quinzaine de résidents de la MARPA (Maison d’Accueil Rural pour Personnes Agées) de Tigery. Les femmes étaient majoritaires, un homme était présent, avec une moyenne d’âge de 90 ans.

Ils ont été ravis de ma présence et ont tous bien pris note des différentes activités de loisirs et de sorties que je peux leur proposer. Ils sont vivement intéressés pour des activités sur le travail de la mémoire, ainsi que sur des ateliers de chant.

En ce qui concerne, les sorties, ils m’ont demandé de leur faire des propositions.

Merci à Mme COMTE Responsable de la MARPA et à Xavier (chef cuisinier) qui leur confectionnait en même temps que ma présentation des petits sablés.

 

 

15 mai 2012 rendez-vous au Forum « A la redécouverte des sens, une nouvelle conception du quotidien »

Le mois de mai, fut une période riche en évènements.

En effet, le 15 mai dernier, j’ai été invité à participer au forum « A la redédouverte des sens, une nouvelle conception du quotidien » qui se tenait à l’Espace Culturel « LES 26 COULEURS » à Saint-Fargeau-Ponthierry (77).

Un remerciement tout particulier à Anne-Marie HÜE (relaloxologue et membre des Dirigeantes Actives 77) qui a transmis mes coordonnées au CLIC de Samoreau, et sans qui je n’aurai pas été présente.

Un grand merci également au CLIC de Samoreau, notamment Mmes ABECASSIS, LOZANO et RENAUD, pour leur accueil. Le CLIC Centre Local d’Information et de Coordination gérontologique, est un point conseil, unique et gratuit pour obtenir des renseignements sur les besoins des personnes de 60 ans et plus. Il existe des CLIC dans la majeure partie des grandes villes, alors, n’hétitez pas à vous renseigner.

Le forum, riche en contacts et en échanges, m’a aussi permis de rencontrer de nouvelles clientes, ainsi que des professionnels, podologue, hergothérapeute, réflexologue.

Je me suis offert également une petite parenthèse bien être de 15 minutes de shiatsu, cela était une première pour moi, moment de détente bien agréable. A proposer d’ailleurs pourquoi pas, à l’occasion d’une activité bien être, détente, massage des pieds, des mains, pour celles et ceux qui apprécient bien sûr, ou qui sont tout simplement curieux d’essayer.

Je ne manquerai pas d’aller à la rencontre des personnes, sur les petites communes du 77 qui entourent AVON, FONTAINEBLEAU pour proposer mes activités.

Exposition de Maîtres Pastellistes

Jeudi 12 janvier 2012.

Je décide de commencer cette nouvelle année, par la visite d’une exposition au Château de Villiers sur la commune de Draveil (91).

En ce très joli endroit, des maîtres pastellistes exposent leurs oeuvres figuratives ou abstraites, ainsi que des sculptures.

Les artistes présents sur place sont : Lionel ASSELINEAU, Bernadette GALLET, Florence MARTINI, LEA, V. CHAMINADE, P. MARTIN, E. MERTIAN.

On en prend plein les yeux, certaines oeuvres sont d’un réalisme à vous couper le souffle !!

On y découvre, des paysages, des portraits, des natures mortes, des compositions de fruits et légumes incroyables !! Des oiseaux, …, c’est tout simplement sublime !!

Amateur ou non de pastel, nous sommes devant des artistes et nous ne pouvons pas rester insensibles à un tel travail. Des heures et des heures, à travailler du bout des doigts, afin d’obtenir un résultat surprenant.

Je ne vous parle pas des sculptures de F. MARTINI, qui sont des oeuvres d’une grâce infini, les formes rondes et généreuses de la femme.

Quelques photos, (la qualité est moyenne, dû aux reflets des fenêtres)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

…. des aubergines, plus vraies que natures, …

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

… un puits rouillé avec des oiseaux, observer le détail de la rouille !!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

… des fruits, un journal, les détails du bocal, les ombres et les lumières !!

Pour finir, quelques photos des sculptures,

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour celles et ceux qui ne connaissent pas, les pastels sont des bâtonnets de couleur utilisés en dessin et peinture. Ils sont composés de pigments, d’une charge et d’un liant.

On distingue les pastels secs (tendres ou durs) des pastels gras (à l’huile ou à la cire).

Le pastel a vraisemblablement été inventé en France et en Italie à la fin du XVe siècle et a été utilisé par Léonard de Vinci grâce à l’impulsion de Jean Perréal.

Le pastel connaît son âge d’or pendant le XVIIe siècle, où ses couleurs franches et son aptitude à imiter fidèlement les tissus, les textures et les lumières le rendent indissociable de l’art du portrait. Il est utilisé par de nombreux peintres comme Rosalba Carriera, Charles Le Brun, Robert Nanteuil ou Joseph Vivien.

Au XVIIIe siècle, le pastel connaît son apothéose. Il est notamment utilisé par Maurice Quentin de La Tour, le ‘prince des pastellistes’, qui met au point une méthode de fixation du pastel aujourd’hui disparue. Jean Siméon Chardin, Jean-Baptiste Perronneau et Jean-Étienne Liotard explorent d’autres voies plus spontanées ou intimistes. Le pastel, symbole de la grâce de l’Ancien régime, tombe en désuétude peu après la Révolution au profit du néo-classicisme et de la peinture à l’huile.

Bien que le pastel n’ait plus jamais retrouvé sa place dans le monde artistique, il continuera à être utilisé, notamment par les impressionnistes (Edgar Degas) et par les nabis (Édouard Vuillard), ainsi que par Odilon Redon.

Je ne manquerai pas de proposer de nouveau cette merveilleuse exposition, qui se tiendra à la propriété Gustave Caillebotte à YERRES (91), pour celles et ceux qui le souhaitent.

Le pain d’épices

En ce vendredi 23 Décembre 2011, veille de Noël, c’était l’occasion ou jamais d’organiser un atelier « pain d’épices ».

Qu’à cela ne tienne, tabliers, ustensiles et recette en mains, nous voilà fin prêts pour réaliser le pain d’épices de Noël, la recette du jour se compose des ingrédients suivants :

– 250 g de miel
– 250 g de farine
– 100 g de sucre en poudre
– 1 sachet de levure chimique
– 1 sachet de sucre vanillé
– 1 cuillère à café d’anis vert
– 1 cuillère à café de muscade râpée
– 1 cuillère à café de cannelle en poudre
– 1 cuillère à café de gingembre en poudre
– 1 cuillère à café de quatre épices
– 2 œufs
– 10 cl de lait

Le résultat, en images, dommage qu’il n’y ai pas le parfum de miel et d’épices qui se dégage du pain encore tiède, une pure merveille !! Et d’une,

Le pain d'épices de Florence

et de deux, pour vous faire saliver un peu plus,

Vous en prendez bien une petite tranche ...

Trève de plaisanterie, d’où vient le pain d’épices,

Dès l’Antiquité, en Égypte, en Grèce et à Rome, des pains sont préparés avec du miel mais l’histoire du pain d’épices connu actuellement  ne commence ni en Flandre ni en Bourgogne. Il semble trouver ses origines en Chine, où, consommé au Xème siècle, il porte le nom de Mi-Kong, «pain de miel». Il se compose de farine de froment et de miel, et on le parfume quelquefois de plantes aromatiques

C’est en 1452 que le duc de Bourgogne , Philippe III le Bon , déguste avec délice une galette au sucre d’abeilles à Courtrai. De cette tournée dans la Flandre, le duc revient à Dijon accompagné de l’habile artisan qui sait cuire de si bonnes galettes.
Le pain d’épice était considéré comme un aliment, et non comme une pâtisserie. Au XIIIème siècle, il est cité parmi les rations des cavaliers de Gengis Khan. Les Arabes l’empruntèrent aux Chinois, et les Occidentaux le connurent en Terre sainte, à l’occasion des croisades.

Plus tard, à l’époque moderne, des pains d’épiciers se distinguèrent et le pain d’épice devint une friandise. A Paris, ils formèrent une corporation à laquelle Henri IV octroya des statuts .
Toutefois, c’est Reims qui s’imposa d’abord comme la cité du plus fameux pain d’épice.
On disait que les Rémois l’emportaient « à cause de la bonté des miels de Champagne et de la manière de faire le pain d’épice que les maîtres des autres villes ne pouvaient imiter ».

Le Dictionnaire de l’Académie Française de 1694, après la définition du pain d’espice, ajoutait « Pain d’épice de Rheims ». Cette réputation était telle que les Rémois furent désignés dans un proverbe champenois sous le sobriquet de mangeurs de pain d’épice. Il existait une corporation de pains d’épiciers à Reims. L’industrie rémoise du pain d’épice fut anéantie par la guerre de 1914-1918.

La production rémoise s’écoulait lors des foires : Châlons en Champagne (dénommée ainsi aujourd’hui), Soissons , Troyes, Laon, Vitry, et, à l’occasion de pèlerinages, jusqu’à la Révolution de 1789.

La première mention de pain d’épice de Bourgogne se retrouve sur un cahier de doléances de 1702 où les maîtres pâtissiers de Dijon se plaignent que les habitants de la ville et des villages voisins «font gâteaux, tartes et pains d’épice et autres pâtisseries pour les vendre dans les rues et aux portes de la ville».
Le premier pain d’épicier de la ville voit son nom inscrit dans les rôles des tailles en 1711 : Bonaventure Pellerin, vendeur de pain d’épice et «cabaretier», rue Saint-Nicolas , actuelle rue Jean Jacques Rousseau. La profession se développe, rivalisant d’astuces, de secrets, de tours de main entre artisans et entre ville concurrentes. L’artisanat se mue en petite industrie. La réputation de Dijon est acquise à la fin du XIXe siècle
Chaque ville a sa recette, chaque fabricant détient son secret, mais, en gros, on retrouvera toujours dans le pain d’épice de Dijon : de la farine de froment, contrairement à Reims qui utilisait de la farine de seigle
A partir de 1850 et jusqu’en 1940, Dijon compte en moyenne huit à douze fabriques de pain d’épice. Mais les fabriques ont disparu l’une après l’autre : le vrai pain d’épice demande une fabrication artisanale qui se révèle trop exigeante.

La tradition est d’offrir une figurine le 6 décembre, jour de  » Saint Nicolas « 
En Allemagne chaque famille confectionne son  » Hexenhaus « , une maison de pain d’épices qui reste sur la table jusqu’à Noël. C’est la « petite maison de la sorcière » qui tire son origine dans le conte de Hansel et Gretel. Chacun prend un petit morceau et la maison s’effrite au rythme de la gourmandise et du nombre de parents et amis.

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